Enlad pensait appartenir a la race des loups, bien qu'il savait avoir des différance sensible d'apparence entre lui, sa mère et sa sœur. Il n'a jamais vu d'autre loup qu'elles. Il allait découvrir des choses... Qu'il aurait préféré garder dans le secret

...

Ils avaient fait halte dans un foret au arbre centenaire, qui se perdaient dans la brume basse, près d'un étang trouble et sale, ou nager des poissons énorme mais toxique. L'automne déposé des feuille rouge, orange et jaune partout sur le sol. Des champignons appétissant, rouge, brun, blanc et vert sortait de terre, et parfois, des marrons tombais des arbres, en les assomment gentiment. Sa mère et sa sœur approchaient.

- Viens ! Nous partons chasser, grogna sa mère.

- Hurmpf.

Contrairement à la plupart des loups, Sa mère, sa sœur et lui ne vivaient pas en meute. Il savait que sa mère avait quitter la meute avec sa sœur a peut près a sa naissance, mais sa mère ne s'étaler jamais dessus. Tarre, sa mère était une grande louve au yeux de jais et au poil brun, dégradé de noir. Quant a sa sœur, Briie, elle avait les yeux vert, son pelage était bleu-gris et son poil se dégradé jusqu'au blanc sur ses pattes. Il la suivit en grognant. Il avait mal dormit. Il supportait beaucoup moins bien le froid que Briie et Tarre, qui devait se blottir contre lui la nuit.

- Enlad, va devant et prévient nous quand tu vois une proie. Et fais gaffe.

- Comme d'hab' Briie.

Les proies n'avait pas peur de lui. Il pouvait arriver en courant, en agitant le bras, et même si les bêtes le voyait, elles restaient a le regarder, sans cillait. C'était assez cruel, car l'instant d'après, Briie et Tarre fondaient sur eux. Pas tous, bien sur. Il n'appelait sa famille que pour les grosses bêtes, alors les oiseau, écureuil et autre lapin tournoyait autour de lui. Son instinct le poussait a les croquer, mais il était toujours terriblement déçu par le gout, alors il se contentait de les regardaient tournoyaient, amusée de leur balais. Il se demandait si il y avait d'autre loup comme lui. Il n'était pas exactement comme sa mère et sa sœur. Ses poils n'était pas collé a son corps, et en dessous il avait une peau pâle et lisse. Son visage était tout aplatie, sans poil, et autour de sa gueule se trouvé des lèvres. Il pouvait aussi se déplacé a deux patte. Peut être faisait il partie d'une autre race de loup. Ou alors il arrivait très souvent que des loups soit comme lui. Après tout, il n'avait jamais vue d'autre loup que Briie et Tarre. Il repéra un gros chevreuil, qui devait être assez âgée ou malade, car son groupe l'avez abandonné. Il était un peu craintif, mais il se laissa approcher facilement. Il appela Briie et Tarre d'un cris qui effraya le chevreuil et tout les animaux qui lui tournée autour s'enfuir, mais la proie n'eu pas le temps de faire un pas que les deux louves se jetèrent sur lui, et en quelque instant, le repas fut prêt. Enlad prit un bout de cuisse qu'il avala difficilement. Son estomac gronder. Il prit a regret du flanc, sanguinolent, qui fut meilleur qu'il ne pensé. Sa famille fini le reste en quelque minute.

- Tu vas tomber malade si tu ne mange rien.

- Je... Je ne me sens pas bien.

- OUI ! Mais tu es un loup, et les loups mangent de la viande.

- Et si je n'étais pas un loup !?

 Il avait lâchait tout ses doutes d'un coup, comme une bombe. Il pensé qu'il serait accueillit par des soupir, des hochement de tête sarcastique, ou alors carrément pas de réaction. Sa mère soupira et se mit a marcher vers le nord, comme il s'y attendait, mais Briie lui jeta un regard étonnamment dure. Ses yeux vert était soucieux et craintif, féroce, comme un animal qu'on accule.

- TU ES UN LOUP, ENLAD ! NE LAISSE PERSONNE TE DIRE LE CONTRAIRE !

Elle se mit a gémir.

- Ça devait arriver... IL NE POUVAT PAS NOUS LAISSER VIVRE EN PAIX !

- Q... Qu'Est-ce que... Ça va ?

Elle se calma d'un coup, et remit son sourire.

- Oui, laisse tomber.

Elle rejoint Tarre, laissant la question d'Enlad en suspend. Qu'Est-ce qui lui prenais ? En réagissant ainsi, elle n'avait fait que l'inquiété plus, creusé ses peur, et le laissait perplexe. Il les suivit, penaud.

- On va où ?

- Vers le nord.

- Pourquoi ?

Briie et Tarre se regardèrent tristement.

- Un pressentiment.

Et elles se mirent a courir, beaucoup plus rapidement que nécessaire.

- On fuit quoi, là ?

Briie le regarda, malicieuse, terrifié et exciter.

- Quelque chose comme le destin.

Et ils s'élancèrent, le soleil déclinant a leur gauche, en fuyant quelque chose de secret. Et il se sentie bien.